woensdag 24 oktober 2012

D'abord on écrit...


Le no-nonsense, le réalisme, le pragmatisme, le néolibéralisme, l'ultralibéralisme , le capitalisme déréglé sans éthique, les marchés, la  pensée marketing, unique, la médiatisation jusqu'à plus soif, la privatisation de tout et n'importe quoi, la spéculation, la compétition, la concurrence, la course au profit, au crédit, l'avidité, les fonds de pension, la propriété, le lobbying à Bruxelles en particulier, les paradis fiscaux, le manque de contrôle, les élites qui se tiennent par la barbichette, qui s'entendent, et puis finalement la corruption, la délinquance en tous genres, le sens dessus-dessous. le paradoxe, voire la contradiction... tout cela a contribué à dessiner notre société à partir des années 80, nous voyons aujourd'hui où cela nous a menés. L'Europe est à repenser, comme le rôle des États et des citoyens européens, hommes et femmes. Les responsables doivent aussi être mis face à leurs responsabilités. L'argent a été gagné, les hautes fonctions attribuées. On peut maintenant s'interroger. Remise en question. Car d'abord il faudra bien répondre à cette question: qui est responsable de quoi, ici ou là, et en Europe, à Bruxelles? Une question qui m'intéresse tout  particulièrement: la place des médias dans cette société.
"Sans avoir progressé d'un iota"... On utilise des mots, on reprend possession du langage ordinaire (Illich) et on commence par débattre et par écrire, Un jour certains se rencontreront pourquoi pas? Les débats s'installant, le reste devrait suivre. Mais il faut bien commencer par quelque chose. Nous vivons une époque de transition, il s'agit d'aller tous dans le BON SENS. C'est vrai, j'écris cela très simplement.
P.S. : Je me méfie un peu des réalistes.  N'oublions pas non plus le problème du financement des retraites. Non des moindres.... Il faudra sans doute aller chercher l’argent là où il y en a trop. Vous voyez, il s'agit en ce moment de ne pas se disperser…

Geen opmerkingen:

Een reactie posten