donderdag 25 oktober 2012

Le monde des médias et des banques...

Ce que vous dites Michel m'intéresse. Vous parlez de vérité, or il se trouve que moi aussi j'utilise les mots pour chercher à ma façon la vérité et la justice. À chacun sa spécialité, n'est-ce pas? Le monde des médias m'intéresse beaucoup, leur rôle dans la marche du monde énormément. Ils formeraient le quatrième pouvoir, le pouvoir de l'argent, le cinquième. Là aussi nous pourrions engager un débat avec nos penseurs médiatiques.
Bref, vous êtes tellement critique envers les journalistes du Monde, que je me demande ce qu'ils en pensent eux-mêmes... Il faudrait qu'ils s'amusent à fréquenter ce blog par exemple. Remarquez, peut-être le font-ils. Les blogueurs devenant journalistes et les journalistes, des blogueurs... Même les grosses têtes sont devenues blogueurs, pour vous dire.... Bloguer est devenu une activité à temps plein, pratiquée par (presque) tout le monde. Ceux qui en ont le temps... Certains étant mieux rémunéres que d'autres, je pratique par exemple la gratuité.
Ce monde des médias m'intéresse. Je pourrais les contacter directement, aujourd'hui c'est très facile. D'ailleurs, est-ce que ce n'est pas ce que je suis en train de faire. Les rédactions se doivent me semblent-ils de surveiller un peu ce qui se dit ici ou là... Je surveille un peu la presse, la presse surveille sans doute aussi ce qui se fait dans son champ. Dites-moi Michel, et les autres blogueurs de la place aussi, seriez-vous éventuellement intéressés par une petite visite à la rédaction du Monde par exemple? Si Jacques Attali et Paul Jorion voulaient bien nous accompagner, ce serait encore mieux. J'écris beaucoup derrière ma machine, mais une rencontre en real life de temps en temps m'est nécessaire pour l'inspiration. Chercher le comment du pourquoi demande à aller sur le terrain aussi. Et puis, n'est-il pas temps que les mondes des médias et de la blogosphère se rencontrent? Un but: l'Europe unie. Nous laisserons plus tard les technocrates s'occuper des problèmes techniques.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Mod%C3%A8le_de_propagande

Et puis....

Une commentatrice commente. Je relis le Monde du 23 octobre. Ils seront contents, je fais de la publicité. Mais bon, le Monde m'inspire pour écrire... Quelques petites choses.
"Les illusions perdues d'un repenti de Goldman Sachs" et "La banque lance une opération de discrédit sur son ex-salarié". Nous en revenons aux banques. Sujet éminemment intéressant, car nous n'en avons pas encore fini avec cette branche essentielle à nos économies. Les banques... soupir... Les banquiers...resoupir.. Nous levons les yeux au ciel... et nous nous demandons comment tout cela finira...
Dans l'article, des mots forts, du genre "toxiques et destructeurs". Qui sont les banques? Qui contrôle les banquiers?  Une banque, ce sont des hommes, éventuellement des femmes, peu j'imagine. Donc, on s'adresse à des personnes et non à des entités abstraites. Une question essentielle: comment la société formée de personnes également, ou un État, des personnes également, peuvent se prémunir contre ce qui serait "toxique et destructeur"? Première question.  J'attends que les internautes s'impliquent dans ce débat.
Dans l'article au-dessous. "J'ai aimé cet endroit. J'y ai mis beaucoup de mon coeur et de mon âme (?). Je n'y vois pas de trahison. Ce sont les dirigeants actuels de Goldman qui ne pensent pas à l'intérêt de long terme de la firme" dit Greg Smith. Nous espérons le trader sincère... On lit encore des mots doux du genre "rapacité", "hypocrisie", "toxicité" encore... On y lit encore littéralement "la petitesse des hauts financiers jaloux les uns des autres, leur goût du luxe jusqu'à la perte du sens réel"... On y lit comment Goldman Sachs servait de "conseil" au gouvernement grec tout en s'enrichissant de la déconfiture des finances publiques d'Athènes; comment elle vendait à ses clients des produits financiers dont un autre service, à un autre étage, se débarrassait parce qu'il misait sur leur effondrement. Ou encore comment un produit financier véreux, appelé Clorox, fut placé auprès de fondations ou de dotations charitables."( Le Monde, économie, p. 15)
Beaucoup de choses à méditer...

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