dinsdag 2 oktober 2012

Des penseurs au cas où...


Au cas où nous aurions un effondrement de société, reprendre Ivan Illich, E.F. Schumacher ou Christopher Lasch entre autres,  avec Jacques Ellul...  

 
 
 
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Ellul


... Et la doctrine sociale de l'Église...


Mais aussi, je m'adresse à Sylvie:

... comme vous ne prenez pas la peine de répondre à ma question, j'en conclus que vous appartenez au monde journalistique. Si je me trompe, vous me corrigerez. Comme je l'ai dit plus haut, pas de réponse est une affirmation.
Ce qui me dérange, c'est l'utilisation intempestive du mot économie. Arrêtons un instant de nous cacher certaines réalités en utilisant ce mot à tort et à travers. Si nous parlons économie, je veux bien, mais alors on s'intéressera d'abord au monde financier et aux banquiers, ici et là Et nous tâcherons de mettre le doigt sur certains responsables. Je ne vois pas d'autres possibilités pour avancer. Le monde de l'économie et des banques étant si étroitement lié, nous ne pouvons pas discuter de l'un sans aborder l'autre. Que l'on parle de l'Europe, des Etats-Unis ou d'une autre partie du monde. Les investisseurs ratissent  larges mais dans quel but? Que dire des fonds de pension?
JA doit être bien placé pour nous dire où les banquiers et la finance ont voulu nous mener. Ce n'est qu'après avoir discuté du rôle des uns et des autres, ici ou là, n'oublions pas que la finance est largement mondialisée, délocalisée et liée, que nous pourrons définir une politique européenne humaine et solidaire simplifiée, avec retour aux fondamentaux. Ce n'est pas en brandissant le mot économie dans tous les sens, ou autres banderoles de revendication que nous pourrons régler certains de nos problèmes. Ayons le courage de faire notre mea culpa et de reprendre les BONS penseurs ainsi que la doctrine sociale de l'Église qui ne demande qu'à être relue. Et je ne parle pas des encycliques. Cessons de tourner autour du pot et de nous casser la tête. Tout a déjà été écrit, il suffit de reprendre les BONS livres.
À La Haye se trouvent d'ailleurs toutes sortes d'instances internationales pour faire comprendre qu'il y des limites à ne pas franchir. On aime bien faire la leçon aux autres, mais une autocritique serait de mise. La Haye, ville de justice et de paix. C'est parfait, la véritable Europe dont nous avons besoin peut recommencer là. Harmonisation politique, économique, fiscale, juridique, militaire, sociale, éducative, apprentissage intensif des langues, etc. Des coeurs , il y en a partout en Europe, il suffit de revoir son Histoire pour repartir sur une bonne base et relier ces cœurs. Les nouvelles technologies nous aideront.  Les États-Unis n'en seront que plus inspirés. Est-ce une vision trop simpliste des choses? Avant cela, il suffira  juste de demander quelques comptes et justificatifs, voire des remboursements. Mais pour cela, il faut bien sûr avoir les bonnes adresses.
Pour en revenir aux USA, j'ai confiance dans le président Obama. Par contre, pour ce qui est des médias américains... On en revient toujours à ce même point, qui tient les ficelles? Jusqu'à quand? Nous n'avons pas fini de parler du rôle des médias et du contrôle des esprits dans nos sociétés….

 
 

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